278 C'estàdire,Survetement Armani Pas Cher

C'estàdire, que sa majesté sacrée royale de GrandeBretagne est, en son propre nom et celui de ses successeurs, est tenu, éternellement ciaprès, à reconnaître les vins de la croissance du Portugal en GrandeBretagne, de sorte qu'à aucun moment , si il y aura la paix ou de la guerre entre les royaumes de la GrandeBretagne et la France, rien de plus ne sera demandé pour ces vins au nom de la coutume ou droit, ou par titre que ce soit, directement ou indirectement, ils doivent être importés en GrandeBretagne ou barriques ou tonneaux, autres que ce qui est exigé pour la même quantité ou une mesure de vin français, déduction ou de réduire une troisième partie de la coutume ou du devoir. Mais si, à tout moment cette déduction ni réduction de la douane, ce qui doit être fait, comme susdit, sera en aucune manière être tenté et porté préjudice, elle doit être juste et légal à sa Majesté royale sacrée du Portugal, à nouveau à interdire les tissus de laine, et le reste de la laine britannique fabrique. ART. III. Les seigneurs les plus excellents les plénipotentiaires promettent et prendre sur euxmêmes, que leurs maîtres nommés cidessus doivent ratifier ce traité, et dans le espace de deux mois les ratifications en seront échangées. Par ce traité, la couronne du Portugal bes obligé d'admettre les lainages anglais sur le même pied qu'avant l'interdiction, c'est de ne pas relever les droits qui avaient été versés avant cette date. Polo Armani Homme
Mais il n'est pas tenu de les admettre en n'importe quels termes supérieurs à ceux de toute autre nation, de la France ou la Hollande par exemple. La couronne de la GrandeBretagne, au contraire, bes obligé d'admettre les vins du Portugal en payant seulement les deux tiers de l'obligation qui est versée à ceux de la France, intopetition les vins orteil le plus probable avec eux. Jusqu'à ce traité, donc, est évidemment avantageux pour le Portugal, et désavantageux pour la GrandeBretagne. Il a été célébré, cependant, comme un chef d'œuvre de la politique themercial de l'Angleterre. Le Portugal reçoit chaque année des Brésils une plus grande quantité d'or que l'on peut utiliser dans sa domesticmerce, que ce soit sous la forme de pièces de monnaie ou de la plaque. L'excédent est trop précieux pour être autorisés à chômer et enfermé dans les coffres, et comme il ne trouve pas de marché avantageux à la maison, il doit, nonobstant toute interdiction, être envoyés à l'étranger, et ont échangé quelque chose pour lequel il ya un plus avantageuse marché à la maison. Pantalon Armani Homme Pas Cher Une part importante des ites chaque année en Angleterre, en retour, que ce soit pour les marchandises anglaises, ou pour ceux des autres nations européennes qui reçoivent leurs déclarations à travers l'Angleterre. M. Baretti a été informé que l'hebdomadaire paquebot de Lisbonne apporte une semaine avec un autre, plus de cinquante mille livres en or en Angleterre. La somme avait probablement été exagérée. Cela reviendrait à plus de deux millions six cent mille livres par an, ce qui est plus que les Brésils sont censés permettre. Nos marchands étaient il ya quelques années de mauvaise humeur avec la couronne du Portugal. Survetement Armani Pas Cher
Certains privilèges qui leur avaient été accordés, non par un traité, mais par la libre grâce de cette couronne, à la sollicitation en effet, il est probable, et en échange de faveurs beaucoup plus grande, de la défense et de la protection, de la couronne de la GrandeBretagne avait été soit violé ou révoqué. Les gens, donc, généralement plus intéressés à célébrer le commerce du Portugal ont ensuite été assez disposé à le représenter comme moins avantageuse que celle qu'il hadmonly été imaginé. La partie beaucoup plus grande, la quasitotalité, ils ont prétendu, de cette importation annuelle d'or, n'était pas à cause de la GrandeBretagne, mais aussi d'autres pays européens, les fruits et les vins du Portugal importés chaque année en GrandeBretagne nearlypensating la valeur de la British biens envoyés là. Supposons, cependant, que le tout était à cause de la GrandeBretagne, et qu'il s'élève à une somme plus grande encore que M. Baretti semble l'imaginer, ce commerce ne serait pas, par cette raison, être plus avantageux que tout autre dans laquelle , pour la même valeur envoyés, nous avons reçu une valeur égale des biens de consommation en retour. Ce n'est qu'une toute petite partie de cette importation qui, on peut supposer, est utilisé comme un complément annuel, soit à la plaque ou à la pièce de monnaie du royaume.